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Les profils d'apprentissage (rejeté par les sciences cognitives)

 

 

J.F. Michel, "Les 7 profils d'apprentissage, Eyrolles, éditions d'organisation, 2005.

 

Ceci est une fiche de lecture, un résumé, avec tout ce que cela suppose de choix et de simplifications, concernant un ouvrage de 175 pages.

 

Il existe plusieurs façons de faire pour acquérir les mêmes savoirs et savoir-faire. Chacun a sa façon d'apprendre, sa propre stratégie pour se motiver, enregistrer l'information.

Ce n'est pas parce que l'on est un cancre qu'on le restera toujours. La clé : savoir comment on apprend. Ceux qui apprennnent facilement ont "une stratégie d'apprentissage" mieux adaptée au système scolaire.

Il existe un lien étroit entre la motivation à apprendre et la réussite scolaire, entre le plaisir de la lecture et la capacité à lire.

Le problème lié à la mémoire à court terme est qu'à l'issue de 20 minutes de cours, l'être humain oublie 42% de ce qu'il a appris, 24h plus tard ce sont 66%, une semaine plus tard 75% ont disparu de la mémoire (s'il n'y a pas eu répétition ou application). Il faut donc appliquer rapidement pour ne pas perdre. Dans l'instant, on ne retient que 7 à 9 éléments simples à la fois. Cependant il est parfois difficile d'appliquer un savoir.

Le profil d'apprentissage d'une personne se compose de son profil d'identité, de son profil de compréhension et de son profil de motivation.

 

Les profils d'identité :

 

Des personnes sont marquées par une compulsion de perfection, elles s'attacheront à des détails parfois inutiles. Plus lentes que les autres dans la phase d'exercice, elles ont une propention à la dévalorisation. La compulsion est un processus inconscient qui guide un comportement, on ne peut pas aller contre mais on peut en tenir compte.

Les profils d'identité n'ont pas pour but de déterminer la personnalité mais permettent de comprendre les comportements en situation d'apprentissage. Ils sont au nombre de 7 :

- Le perfectionniste. Il a horreur de faire mal, soucieux et inquiet, il prend le temps de faire les choses correctement. Les remarques négatives ou dures ont un grand pouvoir destructeur sur eux. Ils ont besoin d'être valorisés. tendance à dire "je suis nul, je ne sais rien faire".

- L'intellectuel. Il aime apprendre, généralement il affectionne la solitude. introverti, distant par rapport aux autres, il est souvent bon apprenant.

- Le rebelle. Il évite de montrer tout signe de faiblesse, n'hésite pas à entrer en confrontation mélée à des accès de colère. Il peut devenir difficile et un mauvais apprenant.

- Le dynamique. Il aime agir, réussit dans ce qu'il a décidé d'entreprendre mais n'est pas automatiquement un bon apprenant. Il compte beaucoup sur son sens de la débrouillardise.

- L'aimable. Il travaille pour faire plaisir à ces parents, au prof. Sociable et gentil, c'est un apprenant agréable mais a besoin d'attention pour s'épanouir.

- L'émotionnel. Il agit en fonction de ses émotions difficilement contrôlées et peut agir de façon théâtrale. C'est un esprit très créatif qui aime se différencier de ses camarades. Il aime le beau mais peut facilement broyer du noir. Ils ont des difficultés à contrôler leurs émotions.

- L'enthousiaste. Il a une forte joie de vivre. l'ordre et la discipline ont tendance à le frustrer.

 

Les profils de motivation :

 

Au nombre de 4 :

- Pour quelle utilité ? Leur motivation dépend du degré d'utilité perçu de l'enseignement. Ils sont motivés par le cours à l'utilité claire, pour les choses plus abstraites (Maths, Histoire) leur motivation est presque nulle, attitude de rejet. Intérêt des formations en alternance pour ces jeunes.

- Vais-je apprendre ? Leur motivation réside dans le fait d'avoir l'impression d'apprendre quelquechose. Ils aiment le savoir et sont curieux d'esprit, aiment avoir beaucoup d'informations.

- Avec qui ? Leur motivation dépend de l'enseignant apprécié ou non.

- Où ça se situe ? Ils réclament un plan du cours sinon ils sont perdus.

Statistiquement, les "Avec qui ?" sont les plus nombreux (31%).

 

Les profils de compréhension :

 

Au nombre de 3, ils permettent de savoir par quel canal sensitif les informations sont enregistrées :

- Les visuels. Ils ont besoin de graphiques, de couleurs, de dessins. Ils ont du mal à mémoriser un cours où le professeur ne fait que du récit. Ils apprécient les textes aérés, les titres en gras.

- Les auditifs. Ils ont une compréhension par l'écoute, les cours magistraux leur conviennent, les textes condensés, écrits petit ne les rebutent pas.

- Les kinesthétiques. Ressentir une information n'est pas évident. Ils sont lents dans la compréhension d'un exposé, ils ont plus besoin que les autres de comprendre le pourquoi des choses, saisir leur origine, réaliser une application concrète. c'est une population plus exposée au processus d'échec scolaire.

Les visuels sont 58%, les auditifs, 27 % et les kinesthétiques 15%.

Les profils d'apprentissage ne donnent pas d'indication sur l'intelligence et le talent. Einstein était kinesthétique, recalé à l'examen d'entrée de l'université de Zurich pour ses faiblesses en lettres.

 

Les caractéristiques par profil d'identité :

 

- L'intellectuel. Ses 3 caractéristiques sont la réflexion, l'absence d'émotion et la solitude. Il est constamment en train de réfléchir, souvent plongé dans ses pensées. Il préfère écouter et analyser les paroles des autres dans une conversation mais peut être bavard s'il estime en connaître assez pour parler. Exprimer des émotions le met mal à l'aise, il a l'air froid par moment. Pour travailler il préfère s'isoler. Il a besoin de plus d'informations que les autres, aime apprendre des choses nouvelles. leur compréhension passe pour la majorité par le canal auditif, le cours magistral leur convient. Il faut éviter de les obliger à s'exprimer. Ils sont curieux. Leur profil de motivation principal est "Vais-je apprendre?" et secondairement "Avec qui ?". Ils sont disciplinés, parlent peu et posent peu de questions. Ils aiment savoir pour savoir.

- Le dynamique. Ses 3 caractéristiques sont le besoin de reconnaissance, la réussite et l'action. Il est souvent perçu comme quelqu'un qui veut se mettre en avant, égocentrique. Il déteste l'échec. S'il s'aperçoit que la barre est trop haute pour lui, il préfère abandonner. Il n'aime pas le savoir pour le savoir, il a l'obséssion de faire les choses, d'agir face à un problème, ne s'attarde pas sur le pourquoi et le comment. Il a besoin de savoir à quoi servent les choses qu'il apprend, il faut lui montrer l'intérêt pratique. Il aime la compétition,il ne faut pas hésiter à le citer en exemple. Sa compréhension passe en priorité par le canal visuel, il a besoin d'une vision d'ensemble et de graphiques explicatifs. Il a besoin d'être encouragé face à une difficulté, il a besoin de buts précis. Il se compare beaucoup aux autres, il ne faut pas montrer ses mauvais résultats en public. Son profil de motivation dominant est "Quelle utilité?" et secondairement "Avec qui ?". Il est extraverti, aime parler et peut donc avoir des problèmes d'attention. Il bouge beaucoup, est très actif, multiplie les activités autres qu'intellectuelles. Malgré la recherche de la réussite il n'est pas le premier de la classe. Il a un contact très facile avec les autres.

- L'aimable. Ses 3 caractéristiques sont : les autres, la gentillesse, la sensibilité. Il est tourné vers les autres, à l'écoute, aime faire plaisir. Très sociable et agréable à vivre, il a beaucoup de difficulté à dire non. D'une grande sensibilité il est inquiet de ce que l'on pense de lui. Il est sensible au fait de bien s'entendre avec le professeur. Il a besoin de comprendre l'origine des choses, plus besoin de comprendre que de savoir comme l'intellectuel. Il est bloqué par la pression et le stress, il a besoin de sérénité pour apprendre. Il apprend à un rythme plus lent que les autres. Il dit oui même s'il n'a pas compris. Sa principale motivation est de faire plaisir au prof qui doit reconnaître les efforts qu'il fournit. Il faut l'encourager à apprendre pour lui même. Il peut avoir un déficit de l'estime de soi, peut penser qu'il ne peut pas y arriver et abandonner assez vite face à la difficulté. Son profil de motivation dominant est "Avec qui ?" et secondairement "Quelle utilité ?". Aucun problème de discipline avec lui, il peut avoir l'apparence de quelqu'un d'un peu mou.

- L'enthousiaste. Ses 3 caractéristiques : la gaité, l'absence de contrainte et le plaisir. Il respire la joie de vivre. Le rire est une valeur importante. il est optimiste, n'a pas de stress mais ignore parfois les dures lois de la réalité, il est naïf. il n'aime pas les contraintes, il a un problème face à l'autorité, une attitude de défiance et de provocation. Il privilégie le plaisir dans toute activité. Il apprend pour lui même et apprendre sous la contrainte le démotive. il apprend très bien par le jeu. Sa motivation pour apprendre est relative et son profil principal de motivation est "Quelle utilité ?", secondairement "Avec qui ?". Il peut être agité en situation de groupe et a du mal à finir ce qu'il a entrepris.

- L'émotionnel. Ses 3 caractéristiques : l'originalité, le côté artistique, les émotions amplifiées. Il aime se distinguer des autres, peut avoir une attitude décalée. Il aime le beau, il est bon en art, spectacle, théâtre. Ce sont des personnes attachantes. Il a besoin de savoir le pourquoi des choses. Il a tendance à une mauvaise estime de soi. Il est très créatif. Les moments de déprime peuvent arriver rapidement. Beaucoup sont kinesthétiques donc plus lents pour apprendre. Il accepte la critique mais pas en public. Il a un fort besoin d'être aimé et compris. Il a du mal à se motiver. Son principal profil de motivation est "Avec qui ?" et secondairement "Quelle utilité ?". Il peut avoir des réactions théâtrales, peut manifester son mécontentement face à ce qu'il estime injuste. Il n'hésite pas à exprimer ses émotions.

- Le rebelle. Ses 3 caractéristiques : la peur de se montrer faible, l'excès, la formidable énergie. Pour lui la meilleure défense est l'attaque, il est capable de très fortes colères. Il a un rapport difficile à l'autorité, un goût pour l'excès mais l'intelligence vive et de la sensibilité. Il aime les défits difficiles et paraît infatigable. Il est sensible aux enseignants à forte personnalité et a besoin qu'on lui pose des limites bien claires. Il apprend vite mais quand il le veut, que s'il sent en face une réelle autorité. Son profil de motivation principal est "Avec qui ? " et secondairement "Quelle utilité ?".Turbulent, il peut être véritablement méchant ou/et d'une extrême gentillesse. il a du mal à respecter les règles. il n'est pas du genre à pleurer ou à se plaindre.

- Le perfectionniste. Ses 3 caractéristiques : le goût de la perfection, la critique, le respect de l'autorité et de l'ordre. Il n'aime pas se tromper. Il peut faire preuve de lenteur. Il critique et se critique constamment. Il aime se soumettre à une autorité et n'aime pas ceux qui ne respectent pas les règles. Son opinion est tranchée. Il décortique l'information pour essayer de tout comprendre et tout maîtriser. Il a besoin de beaucoup d'informations. Il peut se dévaloriser. Son profil de motivation principal c'est "Avec qui ?" et secondairement "Vais-je apprendre ?". Il n'aime pas le désordre, il est honnête, discipline ét agréable à vivre, travailleur.

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Beaucoup ne savent pas comment ils apprennent ce qui explique une bonne partie des difficultés scolaires.

Attention, le profil d'apprentissage d'une personne n'est pas la personne. Il n'y a pas de profil meilleur qu'un autre mais certains sont mieux adaptés à un système d'enseignement que d'autes. Un intellectuel n'est pas forcément plus intélligent qu'un aimable ou un rebelle.

A chaque profil dominant s'associe un profil secondaire. Plus une personne a un profil de compréhension secondaire fort, plus elle aura d'options de rechange pour mieux apprendre.

Quand on vit des situations négatives, des stress prolongés, une fatigue morale, de la frustration ou de l'anxiété, la performance intellectuelle devient médiocre. Il est important de chercher du plaisir dans ce que l'on fait. Le plaisir est source de motivation et favorise la performance intellectuelle. Le stress court peut être bon, motive avant un examen. Mais le stress prolongé, excessif, a des effets nocifs sur l'état d'esprit et la santé.

Les meilleurs conditions pour apprendre sont une association de "défi élevé" et "menace faible". La motivation qui vient de soi même est la plus efficace.

Les enfants qui ont un manque de confiance en leurs capacités et qui sont motivés par des éléments extérieurs (la peur de se faire gronder si ils ne réussissent pas) ont souvent une expérience négative de l'école, c'est difficile pour eux de donner le meilleur d'eux-même. La pression externe n'est pas inutile mais il faut en faire un usage modéré car ceux qui ne travaillent que comme ça ont du mal à faire face aux défis personnels et manquent d'autonomie. La pression externe est utile pour faire les derniers efforts supplémentaires, c'est le bon stress mais le carburant doit être le plaisir.

 

L'état d'esprit

 

Performances et capacités intellectuelles reposent sur un état d'esprit. Selon la façon dont un élève perçoit ses études, il sera motivé ou pas, éprouvera du plaisir ou pas. Chez quelqu'un qui apprend, l'important est de savoir si sa perception l'aide ou le limite, le motive ou le décourage.

Pour changer sa perception face à un échec, il faut poser les bonnes questions : non pas "pourquoi ai-je raté" mais plutôt "qu'est ce que j'ai raté et comment mieux travailler la prochaine fois ?".

Pour changer l'état d'esprit d'un élève, il faut poser les bonnes questions en fonction de leur profil d'apprentissage :

- Le perfectionniste : Il doit apprendre à accepter l'erreur qui ne doit pas le mettre dans un état d'esprit négatif : en quoi faire des erreurs peut être une bonne chose ? est ce que tu fais toujours des erreurs ? Est-il possible de ne jamais faire d'erreurs ? Avoir trop peur de se tromper ne permet pas d'entreprendre et de tenter des choses. Il est important d'essayer et expérimenter, y compris l'erreur, surtout pour les visuels et les kinesthétiques : s'apercevoir par soi même pour ne pas refaire l'erreur.

- L'aimable : Il doit apprendre à dire non. En quoi penser à soi quitte à déplaire peut-il être une bonne chose ? Dans quelles circonstances montrer son désaccord quitte à créer le conflit est une bonne chose ? Dire je n'ai pas compris c'est aider le professeur à adapter sa pédagogie.

- Le dynamique : La peur de l'échec est paralysante (ce n'est pas la peur de l'erreur), il comprend aisément l'intérêt de l'erreur. En quoi un échec peut-il se transformer en réussite ? C'est par l'échec que l'on apprend le mieux, que l'on tire les leçons qui serviront pour les succès futurs.

- Le rebelle : Il veut éviter de se montrer faible. En quoi vouloir montrer sa force indique t-il une faiblese ? Dans quelle circonstance une faiblesse est-elle une force? La colère est une preuve que l'on est destablilisé, que l'on a plus d'arguments.

- L'intellectuel : Il a du mal à être spontané et manifester ses émotions, son attitude froide peut être mal interprétée. En quoi montrer ses émotions peut être une bonne chose ? Les émotions permettent de mieux communiquer.

- L'enthousiaste : Il tombe facilement dans le travers de l'amusement et de l'indiscipline. En quoi la discipline et les règles sont elles synonymes de liberté ? Elles sont là pour que la loi du plus fort ne s'impose pas.

- L'émotionnel : Il recherche l'originalité, à se démarquer des autres, ce qui peut l'amener à l'indiscipline. Est ce que ne pas respecter les règles c'est se démarquer des autres ? Ne pas respecter les règles n'a rien d'original, c'est plutôt le signe d'une certaine inconscience et ça peut gâcher les chances d'avenir.

Ces questions ont pour but de changer la perception des choses et produire un état d'esprit positif. Elles doivent se rapporter aux caractéristiques du profil d'identité de la personne.

Pour changer l'état d'esprit de quelqu'un qui est visuel, lui montrer les choses, faire un schéma explicatif. Avec les kinesthétiques il faut être patient, lui laisser du temps pour que la perception positive de la réalité soit ressentie.

Le fait de dire "je suis nul" ou "je n'y arrive pas" relève de croyances limitantes qui doivent être combattues. A croyances limitantes, performances limitées. Pour changer ses croyances limitantes il faut entretenir la croyance que finalement les choses peuvent être faciles. Il faut orienter les questions pour montrer les contradictions de la croyance limitante. Un individu n'étant convaincu que par ce qu'il dit lui même, il faut faire dire les choses et ne pas les assainer.

Les croyances qui sont à développer sont : être mauvais aujourd'hui n'empêche pas d'être bon demain. Le cancre a une façon d'apprendre bien particulière ne correspondant pas au système ambiant. Il développe un état d'esprit négatif, les résultats en sont la logique. Ils ont la fausse certitude qu'ils sont nuls, ne se donnent pas la peine d'apprendre et développent la certitude qu'il ne sert à rein d'essayer. Il faut transformer la croyance limitante "je ne peux pas y arriver" en "il y a un moyen pour réussir".

La capacité à raisonner dépend du nombre de connexions entre les neurones. Plus un individu apprend, plus il est amené à réfléchir, plus les contacts entre neurones sont nombreux. Le cerveau continue à se développer au cours de la vie.

Il y a 1,2% de chance pour qu'un élève ait exactement le même profil d'apprentissage que son professeur. Si le profil est très différent, l'élève aura du mal à comprendre l'intervention. Ne pas comprendre est donc normal. Mais l'élève qui laisse passer des incompréhensions, qui reste passif, devient responsable de ses propres difficultés. Un professeur ne peut pas deviner les difficultés de chacun. Rien ne se fait sans la persévérance.

 

Amorcer une envie par l'activité

 

Un jeune en situation difficile perçoit l'école comme un lieu désagréable, l'école déclenche un état d'esprit négatif. Plus c'est émotionnellement douloureux, plus le conditionnement négatif sera fort. Pour préserver leur estime de soi ils rejettent la difficulté sur les autres. L'état d'esprit négatif prive d'envie, de la capacité d'écoute et d'intégration de l'information.

La pratique d'une activité permet de sortir d'un schéma négatif en donnant une autre perception de l'effort et de l'apprentissage. Il faut qu'elle soit plaisante et réclame un  minimum d'engagement. L'activité convient particulièrement aux personnes dont le profil dominant est "A quoi ça sert ?", aux kynesthétiques, des personnes qui apprennent le mieux en faisant, qui ont des soucis avec l'abstraction.

Rebelles et dynamiques ont une prédilection pour les sports individuels. Les dynamiques apprécient la compétition. Les émotionnels sont plus portés sur les activités artistiques. Les aimables sont à l'aise dans les activités qui se consacrent aux personnes. Les enthousiastes préfèrent les activités où ils peuvent avoir beaucoup d'autonomie. Les perfectionnistes ont besoin d'activités demandant de la rigueur et de la précision.

L'élément déterminant de tout apprentissage c'est la confiance en soi.

Les test sur les 3 profils d'apprentissage sont réalisables sur le site http://www.apprendreaapprendre.com, cependant un seul (profil de compréhension) est gratuit.